Flowers of Evil est vraiment un album spécial dans lequel Ulver joue le rôle de l'illusionniste jusqu'à en être carrément fallacieux : retour de la synthpop (ça serait bien la première fois qu'Ulver reste dans une zone de confort), pochette étrange, références bibliques et culturelles à foison... Mais si on creuse un peu plus, c'est un Ulver tragique qui se dévoile, un Ulver qui parle de bombes atomiques ("Little Boy") et de massacres injustes ("Apocalypse 1993") : un Ulver plus froid et mature. Jordan Vauvert
Strangely lo-fi with respect to other Kauan albums, and often at complete odds with its predecessor, Kaiho (which only comprised clean vocals). To appreciate Ice Fleet, I approach it like a release from another band – an unknown and mysterious one. Alice M.
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
California’s Fawns of Love write heavenly pop songs surrounded by cloudlike layers of synth and tied up in silvery guitar lines. Bandcamp New & Notable Feb 2, 2019